L’intendance autochtone du feu lors de la conférence sur les incendies à Cranbrook

En mars dernier, des praticien·nes du feu, des détenteurs du savoir traditionnel et des dirigeant·es se sont réuni·es pour une conférence sur le feu, qui comprenait une formation pratique, un partage des connaissances et un échange approfondi sur le brûlage culturel. Venus du Canada, des États-Unis, d'Australie et d'ailleurs, les participants se sont rassemblés autour d'un engagement commun : restituer le « bon feu » sur le territoire.

De la salle de conférence au terrain, le message était clair : le brûlage culturel n'est pas synonyme de destruction, mais bien de la restauration, la résilience et du renouveau. Grâce à des allumages au bâton, à des évaluations du territoire et à des conversations fondées sur la science autochtones, les gardien·nes et les intendant·es du feu s'efforcent de revitaliser ces pratiques importantes.

Comme l'a dit Amy Cardinal Christianson : « Ce que nous voulons, c'est voir un bon feu se déplacer dans le paysage - maintenir les sols en bonne santé, promouvoir les plantes dont nous avons besoin culturellement et renouer avec la façon dont nos peuples ont toujours géré le feu. »

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Comment le feu et les inondations sont liés & comment le brûlage culturel peut prévenir les deux.